Jeanne de Nicole Avril

Salut à tous !

jeanne

Aujourd’hui, je vous propose une chronique sur ma lecture du mois de Mars que je viens de terminer. Il s’agit de Jeanne de Nicole Avril. On commence de suite avec le synopsis !

Don Juan aujourd’hui, qui serait-il ? Une femme, répond Nicole Avril. 

Jeanne, son héroïne, détient un pouvoir sur les corps et les coeurs, elle est chirurgien : chirurgie cardiaque. A mener sans relâche un combat contre la mort, Jeanne a appris à jouir d’une existence qu’elle sait toujours menacée. Avec jubilation, elle possède ses amants successifs mais, dans sa quête de l’éternel masculin, le désir meurt de s’accomplir. D’homme en homme, elle poursuit sa chasse. Et femme d’aujourd’hui, elle découvre la faim effrénée de son corps et il lui faut toujours plus : la volupté et l’amour, le désir et la complicité. N’est ce pas trop demander ? 

Nicole Avril crée avec Jeanne un personnage tout à fait neuf. Haletant, fiévreux, exalté, son roman mêle, dans un grand mouvement, la joie et la violence. 

Jeanne est un livre agréable à lire, ce que j’ai aimé particulièrement c’est le pouvoir de la femme sur l’homme, comment la femme use de ses charmes pour séduire l’homme. C’est un aspect que j’aime beaucoup, grande féministe que je suis. J’ai trouvé ce roman assez calme en fait, je m’attendais à quelque chose de plus « haletant » comme nous annonce la quatrième de couverture, des actions « fortes » qui s’enchaînent mais cette sensation je ne l’ai ressenti qu’à la fin et encore, j’ai l’impression qu’il manque une case, il manque un évènement, il manque ce moment où je me dis « oh la vache ! ». Je le sens incomplet. C’est comme si tout le long de ma lecture, j’attendais quelque chose mais qui ne vient jamais. Donc un peu déçu de ce côté là mais j’ai passé un bon moment en le lisant, il a quelque chose d’attractif. Je ne sais pas vraiment si je peux vous le recommander ou non car tous le monde doit se faire son propre avis donc si le synopsis vous a tenté vous pouvez vous lancer ! Avec moi, ça n’a pas marché, il me faut une lecture plus poignante.

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